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La Sleeve de Nadou - Que du Bonheur -
1 janvier 2017

Arrêter la consommation de sucre

 

 

Et si on arrêtait le sucre ?
Voilà quelques raisons :
1. Caries
2. Diabète
3. Obésité
4. Maladies cardiovasculaires
5. Acné
6. Perturbation hormonale
7. Foie et pancréas
8. Cancer
9. Candidose
10. Calorie vide
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https://nutritionholistiqueetvegan.wordpress.com/2016/07/28/le-sucre-un-poison/

 

Et si on arrêtait le sucre ?

 

Voilà quelques raisons :

 

 

1. Obésité

2. Diabète

 

3. Maladies cardiovasculaires

4.  Caries

5. Acné

6. Perturbation hormonale

7. Foie et pancréas

8. Cancer

9. Candidose

10. Calorie vide

 

 

 

Le sucre = un poison?

 

On dit depuis longtemps que le gras est l’ennemi à abattre dans la guerre à l’obésité.

Cependant, depuis quelques années, plusieurs études s’intéressent plutôt à l’impact du sucre sur la santé, qui serait, selon plusieurs chercheurs, plus dangereux que le gras.

Certains vont même jusqu’à le comparer à un poison!

 

Le mot est un peu fort, mais en effet, consommer trop de sucre aurait des effets néfastes sur la résistance à l’insuline, l’hypertension, le tour de taille, l’obésité et même le diabète.

En général, ces constats ont été démontrés chez les animaux ou dans des études d’observation. Peu d’études cliniques ont prouvé que ces effets étaient réels chez l’humain.

 

Qu’est-ce que le sucre? Où le retrouve-t-on?

 

Les sucres sont des glucides simples, c’est-à-dire qu’ils sont composés de peu de molécules.

Les monosaccharides sont des sucres qui ne contiennent qu’une seule molécule (ex : fructose, glucose).

Les disaccharides sont des sucres contenant deux molécules (ex : sucrose, lactose).

 

On retrouve le sucre naturellement dans peu d’aliments :

les fruits, le lait, le miel, le sirop d’érable...

Ainsi, on peut comprendre qu’avant d’inventer le processus pour extraire le sucre (sucrose) des cannes à sucre ou de la betterave, les humains en consommaient très peu.

 

Consommons-nous trop de sucre?

 

Dans les 50 dernières années, la consommation de sucre mondiale a triplé.

Ne croyez pas que c’est parce que les gens consomment plus de fruits qu’avant!

Ce sont plutôt les aliments contenant des sucres ajoutés qui sont consommés de façon exponentielle.

 

Auparavant, la principale forme de sucre ajouté utilisée par l’industrie était le sucrose. 

Cependant, de nouvelles technologies ont permis le développement d’une autre forme de sucre devenue très populaire à cause de son faible coût :

 

le sirop de glucose-fructose.

 

Il est estimé que 50% de l’apport alimentaire en sucres ajoutés provient du sucrose et que 50% provient du sirop de glucose-fructose.

Les principales sources de ces sucres ajoutés sont les boissons gazeuses et les autres boissons sucrées.

 

Le cas du fructose

 

On croyait auparavant que le fructose était le « sucre du futur » pour les diabétiques.

En effet, contrairement au glucose, le fructose n’a pas besoin de l’insuline, l’hormone problématique chez les diabétiques, pour être métabolisé et transformé en énergie.

Ainsi, on croyait pouvoir éviter beaucoup de désagréments liés à l’excès de glucose dans le sang.

La réalité est tout autre.

 

De tous les sucres, c’est le fructose qui soulève le plus d’inquiétudes.

Beaucoup de recherches sont effectuées concernant son impact sur la santé.

 

Il est d’abord important de savoir que :

 

1.       Le sirop de glucose-fructose est habituellement composé de 45% de glucose et

         de 55% de fructose.

2.       Le sucrose est un disaccharide composé de 50% de glucose et de 50% de fructose.

 

Ainsi, aucun aliment ne contient du fructose pur, ce qui signifie que le glucose et le fructose sont toujours consommés ensemble, peu importe la forme de sucre ajouté utilisée.

 

Les effets du sucre sur la santé

 

Les études cliniques effectuées sur le sujet n’ont généralement pas trouvé d’impact significatif du fructose sur la santé.

Ce sont principalement des études d’observations qui ont noté certains liens.

 

Syndrome métabolique

 

Le syndrome métabolique est un ensemble de problèmes de santé qui augmentent les risques de développer le diabète de type 2, une maladie du cœur, une angine de poitrine, un infarctus ou un accident vasculaire cérébral (AVC).

 

Les facteurs de risques  associés au syndrome métabolique sont :

 

  • Surpoids (accumulation de gras principalement au niveau du ventre)
  • Trop de gras dans le sang (LDL/Triglycérides)
  • Faible taux de bon cholestérol (HDL)
  • Hypertension
  • Intolérance au glucose

 

Sans que cela soit surprenant, lorsque des humains sont soumis à des doses élevées de fructose, sous forme de boissons gazeuses ou de fructose pur, tout en continuant à consommer les aliments de façon habituelle, ces derniers gagnent du poids.

De même, la consommation de boissons gazeuses est fréquemment associée à

 

un risque élevé d’embonpoint et d’obésité chez les enfants.

 

Il a été observé par plusieurs études qu’un régime riche en fructose ou en sucrose menait à une élévation des triglycérides dans le sang chez l’humain.

Ces lipides sont associés à des risques plus élevés de maladies cardiovasculaires.

 

Consommer trop de fructose aurait également un effet néfaste sur la pression artérielle.

Une étude d’observation comptant 4528 participants a observé que le fait de consommer 74 grammes de fructose par jour, soit l’équivalent d’environ 4 canettes de boissons gazeuses de 355 mL, augmentait les risques de souffrir d’hypertension de 28% à 87% selon le niveau d’hypertension.

 

Une méta-analyse regroupant les résultats de trois études prospectives (n=19 431) a conclu que les personnes consommant le plus de boissons gazeuses régulières avaient 20% plus de risques de développer le syndrome métabolique que ceux qui en consommaient le moins.

 

Dans les études où des animaux sont nourris avec de grandes quantités de fructose, une résistance à l'insuline se développe.

La résistance à l’insuline peut mener au diabète de type 2 lorsqu’elle s’échelonne sur plusieurs années.

Toutefois, ces résultats n’ont pas été observés chez les humains lorsque des doses « normales » de fructose sont consommées.

 

Diabète

 

Une étude américaine a étudié le lien entre la quantité de sucre disponible par personne et la prévalence du diabète dans les populations de 175 pays.

Plus la quantité de sucre disponible était élevée, plus il y avait de cas de diabète dans ces pays.

Pour chaque 150 calories/personne/jour disponibles (soit l’équivalent d’une canette de 355 mL de boisson gazeuse), la prévalence du diabète augmentait de 1,1%.

L’obésité a un impact sur le développement du diabète.

Il serait donc permis de croire que les pays où la quantité de sucre disponible est élevée auraient des taux de d’obésité plus élevés, ce qui influencerait les résultats.

Les auteurs de l’étude ont évalué ce lien et concluent que l’obésité accentue la prévalence du diabète, mais que le sucre seul l’influence également.

 

Une méta-analyse regroupant les résultats de huit études (n= 310 819) a conclu que la consommation de boissons gazeuses régulières était associée à un plus haut risque de développer le diabète de type 2. Les participants qui consommaient le plus de ces boissons gazeuses avaient 26% plus de risques que ceux qui en consommaient le moins.

 

Les recommandations

 

La plupart des études qui ont été effectuées ne font que faire des liens entre la consommation de sucre (sous forme de sucrose, de fructose, de sirop de glucose-fructose ou de boissons sucrées) et certains problèmes de santé.

Ces résultats ne démontrent pas un lien clair de cause à effet, mais soulèvent des inquiétudes.

 

Les études ont également démontré que la consommation de sucre dans le cadre d’une alimentation hypercalorique pouvait induire tous les désordres métaboliques cités plus haut.

Cependant, tant que des études cliniques de bonne qualité n’auront pas confirmé les liens entre la consommation de sucre et ces problèmes de santé, il sera impossible d’affirmer que c’est bien le sucre qui en est la cause et non simplement l’obésité qui découle de sa consommation élevée.

 

Il n’est pas nécessaire d’attendre la confirmation clinique

des dangers du sucre

pour en diminuer sa consommation.

 

 

Il est assez clair que la consommation élevée de sucre amène des risques plus élevés d’embonpoint et d’obésité, augmentant par le fait même plusieurs des risques énumérés dans cet article.

Pour ces raisons, plusieurs organismes et gouvernements suggèrent de limiter la consommation de sucres ajoutés et des aliments qui en contiennent.

 

L’Organisme Mondial de la Santé recommande à ce que moins de 10% de l’apport énergétique total provienne des sucres ajoutés.

Pour une personne consommant 2000 calories par jour, cela correspond à un maximum de 50 grammes de sucres ajoutés ou l’équivalent d’une cannette et demie de boisson gazeuse ordinaire (il ne faut pas oublier de calculer le sucre ajouté dans les biscuits, les cafés aromatisés, les desserts, la crème glacée, le chocolat, etc.).

 

L’American Heart Association, quant à elle, recommande aux femmes de consommer un maximum de 100 calories provenant des sucres ajoutés et aux hommes un maximum de 150 calories.

Ceci correspond à un maximum de 25 g de sucres ajoutés pour les femmes et à 38 g pour les hommes.

 

Conclusion

 

Pas besoin d’attendre que les preuves de la dangerosité du sucre soient cliniquement confirmées pour en diminuer votre consommation.

Plusieurs organismes recommandent de consommer moins de sucres ajoutés que ce que le Canadien moyen consomme.

 

Une façon efficace d’en diminuer votre consommation est de privilégier des boissons

 

 

comme l’eau, le café, le thé, le lait ou les boissons végétales enrichies

 

 

 

au lieu des boissons sucrées ou des jus.

 

Au dessert, choisissez le plus souvent

 

des fruits frais, du yogourt, des compotes, etc.

 

Article paru sur:

 

Extenso

 

 

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Commentaires
M
J'écris du Canada, je souffrais d'un cancer du côlon et d'une hépatite lorsque mon ami d'université d'Afrique m'a présenté le Dr Itua, phytothérapeute qui guérit toutes sortes de maladies avec ses plantes médicinales, puis j'ai décidé de contacter le Dr Itua via son site Web https: //drituaherbalcenter.com/shop/ Email: drituaherbalcenter@gmail.com Je l'ai contacté et il m'a expliqué tout le processus sur la façon dont je vais procéder pour commander son produit à base de plantes.<br /> <br /> Ensuite, il m'a envoyé ses médicaments à base de plantes via le service de messagerie UPS qui a mis 3 jours pour m'amener ici au Canada, puis il m'a expliqué comment boire les médicaments à base de plantes pendant 30 jours pour guérir, ce que j'ai très bien fait et j'ai été guéri, Dr Itua à base de plantes les médicaments guérissent complètement mon cancer du côlon et mon hépatite et cela fait 3 ans maintenant qu'il n'y a pas eu d'épidémie, je suis si heureux d'être enfin guéri. Le Dr Itua peut guérir les maladies suivantes ; Herpès, VIH, MPOC, Diabète, Parkinson, Hépatite, Cancer, Lymes,<br /> <br /> S'il vous plaît, veuillez partager ceci parce que je veux que quelqu'un d'autre ici se rétablisse avec le grand médecin à base de plantes
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I
Bonjour,<br /> <br /> Permettez-nous d’apporter quelques précisions à votre article. <br /> <br /> <br /> <br /> En France, le sirop de glucose-fructose est issu du blé et du maïs. L’amidonnerie française s’approvisionne exclusivement en matières premières conventionnelles (non OGM). Il est utilisé depuis des décennies pour son pouvoir sucrant ainsi que pour ses propriétés spécifiques car il apporte de la texture, du goût, de la brillance aux recettes.<br /> <br /> La teneur en fructose du sirop de glucose-fructose se situe en moyenne autour de 20 % en France. Ce sucre contient donc moins de fructose que le sucre blanc (saccharose) qui en contient 50 %. Aux Etats-Unis le sirop de glucose-fructose, nommé « HFCS » (High Fructose Corn Syrup) contient 55 % de fructose et également du HFCS à 42 % de fructose.<br /> <br /> L’apport calorique du sirop de glucose-fructose, comme tous les autres sucres, est de 4 kcal/g.<br /> <br /> <br /> <br /> Enfin, rappelons que les pathologies telles que le surpoids, l’obésité ou le diabète sont multifactorielles : manque d’activité physique, déséquilibre alimentaire, environnement social, génétique, etc. Un seul facteur tel que la consommation de sucres ne peut être à leur origine. Comme tous les aliments, les sucres doivent être consommés de manière raisonnable, dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée, adaptée à son activité physique.<br /> <br /> <br /> <br /> Il n’y a d’ailleurs pas de relation entre la consommation normale de fructose et les niveaux de triglycérides, l'Indice de Masse Corporelle, le tour de taille ou le diabète de type II (Jalal DI et al., 2010), ni entre la consommation de sirop de glucose-fructose et la maladie du foie gras non-alcoolique (Chung et al., 2014) (Chiu et al., 2014) (Jalal DI et al., 2010).<br /> <br /> <br /> <br /> Pour finir, en France la consommation moyenne de fructose a été estimée à 42 grammes par jour et par personne (FFAS,2014). Sur ces 42 g/j, seuls 2 g proviennent du sirop de glucose-fructose (soit moins de 5 %). La contribution de la consommation de fructose par les sirops de glucose-fructose est donc faible et bien en dessous des niveaux pour lesquels on observe des effets sur la santé (FFAS,2014).<br /> <br /> <br /> <br /> Centre d’information de l’amidon<br /> <br /> Pour en savoir plus : http://leschampsdelamidon.fr/<br /> <br /> <br /> <br /> Source: <br /> <br /> Jalal et al., 2010. Increased fructose associates with elevated blood pressure. J Am Soc Nephrol. doi: 10.1681/2009111111.<br /> <br /> Chiu et al., 2014. Effect of fructose on markers of non-alcoholic fatty liver disease (NAFLD) : a systematic review and meta-analysis of controlled feeding trials. Eu J Clin Nutr, 68:416-423.<br /> <br /> Chung et al., 2014. Fructose, high-fructose corn syrup, sucrose, and non-alcoholic fatty liver disease or indexes of liver health: a systematic review and meta-analysis. AJCN. doi: 10.3945/114.086314.<br /> <br /> FFAS, 2014. Le fructose, Etat des lieux du Fonds français pour l’alimentation et la santé.
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La Sleeve de Nadou - Que du Bonheur -
  • Comment vous parler d'une décision qui a pris tant d'années avant d'être prise! Sans tabous, ni retenues aucunes, je vous emmène sur le chemin de ma Sleeve qui a eu lieu le 05/12/2016. Oui, mais! allez-vous me dire! C'est si récent! Qu'en dire! Suivez-moi
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